jeudi 22 octobre 2009

Deux rendez-vous autour des régionales 2010

Deux rendez-vous politiques ce Week-end qui concernent les prochaines élections Régionales:


l'une à l’invitation des EluEs Alternative Citoyenne au Conseil Régional autour de la démarche du Front de gauche :

Réunion pour lancer le travail d’une Coopérative d’Idées pour l’Avenir de l‘Ile de France
Samedi 24 octobre 2009
de 9 h 30 à 12 h
A l’AGECA
177 rue de Charonne – 75011 Paris M° Alexandre Dumas (Ligne 2) ou Charonne (Ligne 9)

Proposition à celles et ceux que l’animation de cette démarche intéresse de lancer ce travail le samedi 24. Déterminer les axes et les formes avec l’objectif de contribuer au mieux à la réussite d’une liste de rassemblement de la Gauche de transformation sociale et écologique.

A l'inititative de Claire Villiers, Jean Brafrman, François Labroille




L'une autour de la démarche d'Europe Ecologie-Les Verts :

Convention programmatique Les Verts/Europe Ecologie régionales 2010
Samedi 24 octobre 2009
de 14:00 à 18:15
CFDT 2 bd de la Villette - Paris
Métro Belleville

Cette rencontre permettra d’échanger sur les grandes orientations et propositions du programme.
Ce programme doit traduire le projet pour la région Ile de France, et être une expression de la diversité des attentes et des engagements associatifs, syndicaux, professionnels. Cette journée sera l’occasion de la première grande rencontre entre militants pour le rassemblement des écologistes en Ile de France depuis les élections européennes.

Infos: http://idf.lesverts.fr/article.php3?id_article=1658

samedi 17 octobre 2009

6 Heures pour le Climat et la Justice Sociale



http://climatjustice.org/


Le Samedi 24 Octobre à partir de 14 h 30,
Espace Reuilly, 21 Rue Hénard, 75012 Paris


M° Montgallet (Ligne 8) ou Dugommier (Ligne 6)

Nous ne sommes plus qu’à quelques semaines du sommet international de Copenhague (7 – 18 décembre 2009) sur le changement climatique. Ce sommet engage l’avenir de tous et toutes puisque des décisions qui y seront prises dépendra l’avenir de la planète et ses habitants : soit un accord égalitaire et solidaire sera adopté, à la hauteur des enjeux, soit les inégalités et les crises iront croissantes.
Dans le même temps, les débats que nous connaissons sur la taxe carbone, le fret ferroviaire ou le rôle des services publics – comme la Poste – dans l’aménagement du territoire montrent que la justice climatique et sociale doit être au centre des politiques mises en oeuvre.

Le collectif Urgence Climatique Justice Sociale organise donc une après-midi de débats, stands et projection de film pour débattre de ces enjeux.

Interventions de représentants de pays du Sud, de négociateurs internationaux, de représentants associatifs, de syndicalistes, etc…

Réservez d’ores et déjà votre Samedi 24 Après-midi !
Vous les retrouverez aussi sur http://climatjustice.org/

A l’initiative de : Acme France (Association pour le Contrat Mondial de l'Eau), Action Consommation, A.C.! Agir ensemble contre le chômage, AE2D (Agir pour un Environnement et un Développement Durables), Aitec – IPAM (Association Internationale de Techniciens, Experts et Chercheurs – Initiatives Pour un Autre Monde), Amis de la Terre, Attac France, Avenir Climat, Bizi !, CADTM France (Comité pour l'annulation de la dette du Tiers Monde), Centre national d'information indépendante sur les déchets (Cniid), Comité Pérou, Compagnie NAJE (Nous n'Abandonnerons Jamais l'Espoir), Confédération Paysanne, Ecorev', Europe solidaire sans frontières (ESSF), Fac Verte, Fondation Copernic, Fondation Sciences Citoyennes, France Amérique Latine, FSU (Fédération Syndicale unitaire), IDD (Immigration Développement Démocratie), Institut Européen de Recherche sur la Politique de l'Eau (IERPE), LDH (Ligue des Droits de l’Homme), Mouvement de la Paix, MRAP (Mouvement contre le Racisme et pour l'Amitié entre les Peuples), MRJC (Mouvement Rural de Jeunesse Chrétienne), Réseau Action Climat (RAC-F), Réseau Féministe « Ruptures », Réseau Sortir du Nucléaire, Union Syndicale Solidaires, Vélorution Paris Île-de- France, Zone d'Ecologie Populaire (ZEP)

Soutenu par : Alter Ekolo, Fédération pour une Alternative Sociale et Ecologique (FASE), Jeunes Verts, Les Alternatifs, LesVerts, Parti de Gauche, NPA (Nouveau Parti Anticapitaliste), Utopia

vendredi 16 octobre 2009

Soutien à des travailleurs sans-papiers à Boissy-Saint-leger


Nous relayons cette déclaration de soutien du Parti de Gauche en faveur des travailleurs de l’entreprise Derichbourg en grève pour leur régularisation.

Depuis lundi 12 octobre, 17 salariés de l’entreprise Derichbourg à Boissy St Léger sont en grève illimitée pour obtenir la régularisation de leur situation, avec le soutien de leurs organisations syndicales.
Ce nouveau mouvement revendicatif s'inscrit dans la continuité de celui qui a eu lieu en juin 2008 et qui exigeait que ces travailleurs qui participent à la solidarité nationale par leurs cotisations et leurs impôts et qui sont privés de la plupart de leurs droits sociaux, soient régularisés.
A cette époque, le ministre de l’immigration, Brice Hortefeux, avait accepté le principe de régulariser les « salariés qui rentraient dans la liste des 150 métiers déclarés déficitaires en emplois pourvus ». Le nombre de 2500 régularisations était annoncé.
Or, depuis un an, les engagements sont loin d’avoir été respectés puisque des centaines de travailleurs se retrouvent dans la même situation. Le gouvernement refuse toujours d'entendre ces revendications et s'entête dans sa politique sécuritaire et anti-immigrés. Il multiplie les obstacles à la régularisation et bafoue l'égalité de traitement au sein de la République en appliquant des critères différents selon les préfectures, les entreprises, les nationalités ou les professions.

Le Parti de Gauche, ses élus dont le conseiller général du canton de Boissy St Léger, Joseph Rossignol soutiennent les grévistes et demandent la régularisation immédiate des travailleurs sans-papiers en grève, et reprend à son compte l'exigence d'une circulaire de régularisation des salariés sans-papiers récemment formulée par 11 organisations syndicales et associatives[*].
*] . Courrier du 1er octobre 2009 à François Fillon, signé par: CGT, CFDT, Union Syndicale Solidaires, FSU, UNSA, Ligue des Droits de l'Homme, Cimade, Réseau Éducation Sans Frontières, Femmes Égalité, Autremonde, Droits devant!!

Le 16 octobre 2009

Après la crise : le bal des hypocrites ?


Une initiative de Gentilly à gauche Autrement : association membre du réseau Gauche Citoyenne



Bien connaître la nature de la crise,
Bien en mesurer l’ampleur et les conséquences.


CONFERENCE DÉBAT avec Thierry POUCH,

Economiste au Laboratoire Organisations Marchandes et Institutions, Université de Reims


Le mardi 20 octobre 2009 à 20 h 30
Salle Familiale Maurice BAQUET
76 Avenue RASPAIL à GENTILLY



Dans le cadre des conférences organisées par Gentilly à Gauche Autrement

Le thème de la conférence sera donc le suivant :
Bien connaître la nature de la crise et, par conséquent, bien en mesurer l’ampleur et les conséquences.


Nous partirons de la surface des évènements (la sphère financière, qui a servi de détonateur) pour aller au coeur du problème et montrer que la crise est celle : d’un régime incapable d’assurer un développement harmonieux de la société et de répondre à ses besoins (stagnation des salaires, inégalités croissantes, pillage du tiers-monde), d’un régime qui démantèle les services publics pour les livrer au marché, d’un régime qui a conduit l’économie entière dans la course aux superprofits financiers.


Face à l’approfondissement de la crise, les licenciements se multiplient, les profits continuent et les plans de relance paraissent dérisoires.
La lutte contre les conséquences désastreuses de la crise doit passer par la reconquête du terrain perdu dans la bataille des idées.

La concurrence, le marché, l’individualisme, la recherche du profit comme seul moteur de toute activité : ces valeurs qu’on nous impose depuis tant d’années se révèlent dévastatrices.


Plus que jamais, c’est le moment d’affirmer les valeurs collectives d’égalité et de justice

Pour clarifier nos idées et imposer d'autres choix de société, nous avons besoin
de comprendre et de débattre.

Redonnons du courage à l’engagement.



Contact :
Gentilly à Gauche Autrement
8, rue du Président Wilson,
94250 Gentilly,
Email : gentillyautrement @voila.fr

jeudi 15 octobre 2009

Le "Grand Paris" des citoyens: différents points de vue


Pour alimenter les débats au sujet du "Grand Paris" voici trois positions divergentes notamment sur les approches citoyennes et démocratiques :




une de Serge Depaquit, Vice-président de l'Adels ( Association pour la Démocratie et l'Education Locale et Sociale). Voir le texte ci-dessous


Une de Daniel Breuiller: Maire d'Arcueil


Une de Stéphane Gatignon: Maire de Sevran:




Contribution de Serge Depaquit:
LE DEBAT DU GRAND PARIS:QUELLE PLACE POUR LE CITOYEN?

Le citoyen sera-t-il observateur ou acteur de la mise en dynamique du projet Grand Paris? Force est de constater que la question n'est pratiquement jamais posée en dépit de l'existence de très nombreuses contributions consacrées aux enjeux d'un tel projet. Pourtant les conséquences sociales et environnementales d'une telle mutation urbaine seront extrêmement prégnantes sur la vie de chacun, aussi sommes-nous confrontés à un choix démocratique majeur: définir les espaces publics susceptibles de permettre l'expression d'une parole citoyenne. Il est vrai que l'échelle territoriale concernée implique de sortir des idées reçues en matière de démocratie dite participative qui ne trouverait ses moyens de réalisation qu'à l'échelle de la proximité territoriale.
La démocratie est aujourd'hui confrontée à l'éclatement des lieux de la décision dans l'emboîtement des échelles territoriales, ce qui suppose de repenser les moyens de sa réalisation. A l'emboîtement territorial doivent correspondre des citoyennetés emboîtées, les forums sociaux en sont d'ailleurs une des formes d'existence. La notion de proximité ne saurait se réduire à la proximité de terrain. Nombre de questions qui ne relèvent pas de celle-ci sont cependant vécues comme très proches des préoccupations de chacun, la crise mondiale actuelle en fournit d'ailleurs de nombreux exemples. Un imaginaire collectif porteur d'une proximité d'intérêt relative aux enjeux économiques, sociaux et environnementaux a pris corps à travers les mutations du monde actuel, la place médiatique prise par les mobilisations alter mondialistes en est le plus vivant exemple.

DEMOCRATISER LA DECISION
Telle est bien la question cruciale qui émerge de la crise actuelle de la pratique démocratique. La prise de distance avec la participation électorale d'une fraction importante du corps social, notamment dans les couches populaires (39% d'abstention lors des récentes municipales dans les communes de plus de 3500 habitants), témoignent de l'urgence d'un profond renouvellement démocratique. Le débat autour du GP pourrait être l'occasion d'un certain nombre de démarches innovantes posant clairement la question de la place et du rôle du citoyen dans l'élaboration d'une réforme urbaine de grande ampleur.
Il est certain qu'on ne s'approprie un territoire qu'à condition que celui-ci soit porteur d'intérêts communs construits et reconnus par l'usage du temps; Nous n'en sommes réellement pas là en ce qui concerne le GP, aussi faut-il poser autrement la question de l'émergence d'une appropriation citoyenne des enjeux. C'est à l'étape actuelle le débat autour des contenus, sociaux et culturels que peut se construire ce nécessaire lien civique.
Le fait que le débat politique autour du GP commence à occuper la scène publique contribue certes à susciter les questionnements, mais l'espace public nécessaire au débat ne prendra corps qu'avec l'expression des enjeux d'une dynamique de changement social liée à la perspective du projet. A cet égard la proposition de la tenue d'un "forum social Paris Metro" devrait être largement soutenue pour devenir une étape majeure du débat démocratique. Une première urgence consiste en effet à développer la coopération entre tous les acteurs de la société civile (associations, syndicats, etc…) afin que se précisent les enjeux susceptibles de donner sens à la perspective du GP.
Il devrait être évident qu'on ne construira pas avec succès un projet aussi vaste et aux conséquences aussi fortes sur la vie de chacun sans que ces légitimités citoyennes soient quelque part intégrées au processus décisionnel du GP. La société civile, forte de son indépendance, possède en effet une capacité d'approche et de mobilisation du corps social qui sont essentiels à la qualité de l'action publique.
Plusieurs initiatives en ce sens pourraient être rassemblées dans une boîte à idées collective. Ainsi serait-il possible d'établir un ensemble de constats, questionnements et suggestions compréhensibles par tous. Une telle démarche devrait s'appuyer sur la diversité des formes d'expression locales de la citoyenneté active: groupes locaux du mouvement social, associations, conseils de quartiers, conseils locaux inter associatifs, conseils de développement, etc…A partir de là des axes d'action portant sur des points essentiels pourraient être largement diffusés et mis en oeuvre afin de contribuer à l'animation de l'espace public.
Une telle démarche d'origine citoyenne devrait également s'adresser aux collectivités locales parties prenantes du projet GP afin qu'elles prennent des initiatives en faveur du débat démocratique.
Une initiative plus large pourrait même être envisagée qui consisterait à organiser une enquête participative adressée à l'ensemble des foyers concernés par le projet GP. Une telle enquête, compte tenu de son ampleur, devrait être organisée sur la base d'une coopération société civile/collectivités locales.
La mise en œuvre d'une véritable perspective de développement durable à l'échelle métropolitaine est aujourd'hui l'un des enjeux majeurs du projet GP. A cet égard c'est aussi bien dans une vision d'ensemble que dans les contenus des actions publiques que réside la clé du succès. On ne saurait en même temps concevoir le développement durable comme une affaire centrée sur le pilotage managerial. Sans une profonde compréhension dans des secteurs importants du corps social, le développement durable risque de ne constituer que la coquille vide des effets d'annonce. Développement durable et démocratie sont intimement liées et l'un n'existe pas sans l'autre pour ne fonder globalement qu'une seule démarche.
En ce sens, les agendas 21 peuvent constituer des instruments utiles parce qu'ils supposent à la fois le débat sur la transversalité des actions et l'apport de l'implication citoyenne. Des agendas 21 à diverses échelles territoriales (intercommunalités diverses et métropole) seraient certainement à mettre en œuvre dans le cadre d'une cohérence globale liée à la perspective du GP.
Au-delà de la multiplicité des champs et des opportunités d'actions, le mouvement social et citoyen doit être l'un des acteurs essentiels de la co- construction des actions publiques et de la mise en dynamique des futurs grands espaces urbains. Encore convient-il de s'en donner les moyens.

COMMENCER A PENSER UNE FUTURE GOUVERNANCE DU GRAND PARIS
Donner un contenu démocratique à la réflexion collective consacrée à l'élaboration du projet GP, c'est également dégager les prémisses de ce que pourrait être une gouvernance démocratique d'une telle entité.
Construire du lien politique c'est, au-delà des banalités de la démocratie participative, poser la question de la place du citoyen en regard de l'élaboration et de la mise en œuvre de l'action publique, donc de la conception que l'on a des processus qui conduisent à la décision. On sait (même si on le nie) que celle-ci est aujourd'hui un processus complexe de division de la décision, et le projet du grand Paris en sera par la force des choses un exemple indiscutable. Quelle est alors la place du citoyen dans ces processus liés à la décision? Il en va non seulement de la réalité de la pratique démocratique, mais également, et c'est rarement souligné, de l'efficacité de l'action publique. Le cas du grand Paris est à cet égard un terrain d'exercice remarquable et qui pose dans ses conséquences l'idée que l'on se fait de la réalisation du principe de souveraineté populaire dans un mode complexe, structuré par l'emboîtement des échelles territoriales et donc des lieux de la décision. La gouvernance des grands ensembles urbains ne pourra pas se limiter sur le plan démocratique à l'écoute dans des conseils de quartiers plus ou moins cantonnés à des préoccupations localistes. D'autres "outils démocratiques" existant ou à imaginer peuvent mieux correspondre au changement d'échelle, mais à condition que ceux-ci fassent système dans le cadre de processus conduisant à la décision.
On songe par exemple à l'existence de dispositifs d'évaluation démocratique conçus eux aussi en termes de processus (ex ante, ex tempere, ex post) pluraliste,s impliquant les acteurs de la société civile. De tels dispositifs peuvent être essentiels à la construction du jugement public si nécessaire à l'exercice démocratique. Des initiatives comme les conférences de citoyens dont la démarche et les acquis progressifs devraient être largement à diffuser peuvent également constituer de temps propres de la construction de la décision. La pratique des budgets participatifs, importante dans la phase gestion d'une métropole, pourrait dès maintenant constituer une perspective à débattre, voire même être esquissée autour des orientations financières futures du Grand Paris. Les conseils de quartier devraient également voir leur fonction préciser, par exemple autour de thèmes essentiels à l'échelle de la métropole comme les solidarités sociales, les transports, etc…
La citoyenneté à l'échelle des grands regroupements urbains exigera plus que jamais la pratique des fonctionnements en réseaux seuls susceptibles de construire les synergies nécessaires entre acteurs de la société civile et ceci quelque soit la taille de chacun. On peut en effet penser au-delà du micro, même si l'on est d'implantation très locale, mais à condition de ne pas demeurer isolé. Il se peut sans doute que la conception traditionnelle du réseau doive être à cet égard revisité.
L'affaire du grand Paris offre un terrain à explorer permettant ainsi de mieux comprendre les enjeux actuels du renouvellement de la démocratie, ce qui devrait être plus que stimulant.

S. Depaquit

mercredi 14 octobre 2009

Hommage à Jean Brugié



« HOMMAGE A JEAN BRUGIÉ »

Décédé en juin 2009, dans sa 84ème année

La famille de Jean BRUGIÉ, sa femme Hélène, sa fille Sylvie
et ses trois petites filles, Formation et Citoyenneté,
le Centre International de Culture Populaire,
la Ville d’Arcueil

vous invitent à la « soirée hommage »

le jeudi 15 octobre à partir de 19 heures
au Centre International de Culture Populaire
21 ter, rue Voltaire 75011 Paris

Cette soirée nous permettra de « revoir » Jean grâce à la projection de deux films lui étant consacrés, et d’échanger entre nous toutes et tous, nos souvenirs, nos impressions, fraternellement et en toute simplicité, deux qualités qu’affectionnait tout particulièrement Jean.

Si vous le souhaitez, vous pouvez nous faire parvenir vos témoignages par écrit. Ceux-ci pourront, avec votre consentement, être exposés lors de cette soirée.


Pour tout renseignement, vous pouvez contacter « Formation et Citoyenneté »
au 01 43 79 09 23 ou par Email : contact@formationcitoyennete.org

Une confrontation sérieuse et appliquée

Un grand merci à toutes celles et tous ceux et qui ont participé aux états généraux de la Gauche Citoyenne qui se sont tenus samedi dernier.

Par la diversité de nos engagements, notre capacité à faire vivre à gauche une discussion libérée d'enjeux électoraux et de candidatures, ces états généraux ont été l'occasion de prendre part au débat autour des régionales à partir de nos expériences locales, de nos envies et de nos propositions concrètes.

Trois mois après la désignation de notre bureau, ces Etats généraux ont marqué une étape importante qui place notre réseau comme espace pertinent en faveur du renouvèlement politique et de l'expression assumée des divergences pour une gauche capable d’opposer un projet crédible et alternatif à celui de la droite.

Pour permettre à tous le monde de profiter des échanges et de ce qu'ils ont produits, nous rendrons la restitution des différents débats dans les jours qui viennent. Dans la suite, nous pourrons formaliser une charte de l'engagement citoyen comme contribution à gauche aux élections régionales.
Ci-joint le lien vers l'article que Gérard Desportes à fait sur Médiapart.fr au sujet des Etats généraux:

Rosandre VALLERAY et Imène BEN CHEIKH
Co-présidentes de Gauche Citoyenne

jeudi 1 octobre 2009

La gauche est dans tous ses états !

Tous aux Etats Généraux de la Gauche Citoyenne !

- Parce que maintenant la politique, en tout cas celle qui mérite ce nom, se pratique beaucoup en dehors des partis…
- Parce que les citoyens ont des idées, des projets et des capacités d’agir
- Parce que la gauche à besoin de citoyens, de diversité, de renouvellement et d’air frais
- Parce que le devenir de la Région et celui du Grand Paris sont l’affaire de tous


États Généraux de Gauche Citoyenne
Samedi 10 octobre 2009 à Arcueil
14h-19h
18/20 avenue du Président Salvador Allende

Autour de trois tables-rondes, des mouvements citoyens, des élus, des militants politiques contribueront au débat régional pour plus de démocratie; moins de cumul de mandats, plus de logements sociaux, un modèle de développement plus écologique, une gestion locale plus transparente, ……

Ceux qui ont annoncés jusqu'à ce jour leur participation à cette rencontre ouverte à tous :

· Des mouvements citoyens de gauche de L’Ile-de-France
· Claire Villiers, Vice-présidente "alternative citoyenne" au Conseil Régional
· Stephane Gatignon, Maire de Sevran
· Emmanuelle Cosse, membre de « Cette France là »
· Eros sana, animateur de la Zone d'Ecologie Populaire, Europe écologie
· Alain Lipietz, Ancien Député Européen, les Verts


Info: Jeanine.coutant@wanadoo.fr - Rosandre@free.fr

Rosandre Valleray et Imène Ben Cheikh
Co-présidentes de Gauche Citoyenne